Illustration par Manon Segur. L'image présente un ange brun pleurant des larmes de sang sous forme de fausse mosaïque médiévale.

    Le cloître des vanités

    Couverture du roman par Marcela Bolivar. L'image présente un homme brun avec une cape noire humant un lys sous les colonnes d'un cloître fleuri.

    Le cloître des vanités est mon premier roman publié, et donc, comme c’est souvent le cas avec les premiers romans, mon chouchou. Il s’agit d’une romance gothique, historique, et fantastique dont voici le résumé :

    Illustration couverture par Marcela Bolivar

    1231, Occitanie…
    Cela fait plus de mille ans que le cloître des vanités attire des âmes gangrenées par le désir et le désespoir. Sernin le bâtisseur, démon à la fois cruel et raffiné, règne en maître dans cette cour ensorcelée. Il a façonné Albeyrac, la fière cité Languedocienne entourant son piège, et goûte à présent une retraite bien méritée mêlée de torture, de meurtres et de dégustation de souvenirs volés…
    Hélas, l’arrivée d’un groupe de prêcheurs Albigeois va tout changer à proximité de son garde-manger. Les Parfaits et Parfaites de la secte cathare risquent de lui saccager son arme favorite par leur foi. Les pouvoirs du démon s’affaiblissent à leur approche, l’empêchant de se débarrasser d’eux par voie directe. Pour ne rien arranger, une des croyantes commence à attirer son attention d’une manière encore inédite, étrangement douloureuse…

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    Avis des lecteurs :

    Sainte Futile

    extrait d’une chronique Babelio

    Je l’ai lu très vite, j’étais replongée dans mes années de fac quand j’avais le nez dans la littérature des troubadours et des albigeois. Et omagad, comme j’ai aimé ces personnages pétris de contradictions et l’évolution de Sernin.

    Jeter l’encre

    extrait d’une chronique Babelio

    J’ai dévoré le Cloître des Vanités quasiment d’une traite, en une seule journée, avec toujours l’envie de connaître la suite à la fin de chaque chapitre. J’ai été portée du début à la fin par cette romance historique et fantastique, et j’ai adoré plonger dans l’Occitanie médiévale, très bien dépeinte par la plume de l’autrice.

    Justine CM

    extrait d’une chronique Babelio

    Un premier roman, certes, mais qui m’a suffisamment marquée au fer pour décrocher le coup de cœur. Au point que j’ai rêvé de Sernin et de son cloître. Sernin le bâtisseur… Il n’est pas “juste” le démon cruel dévoreur de vices et de vanité. Ooooooh non. L’on pourrait être surpris, perplexe, voire déçu de la façon dont cette histoire se finit, mais l’autrice s’en sort avec brio, je trouve. J’avoue que je m’attendais à quelque chose de sanglant, et en fait, c’est tout autre chose. Ce n’est pas une réécriture de la Belle et la Bête. Les personnages sont loin d’être binaires, y compris Sernin, au passage. Aaaah, ce trio entre lui, Hermine et Agnès… je n’en dirai pas plus. J’ai beaucoup apprécié ma lecture, la façon dont l’autrice écrit sur la romance, les sentiments amoureux… et bien plus encore.
    Manon Segur

    Où trouver ce roman ?

    Malheureusement, ma première maison d’édition a fermé ses portes. Le cloître des vanités est donc de nouveau à la recherche d’une maison d’édition. En attendant de le faire renaître de ses cendres, je ne peux que vous conseiller de chercher une version d’occasion !